Face à  l’ensemble des corps diplomatique présent au Gabon, le Chef du gouvernement a présenté vendredi  les dispositions prises par le gouvernement de la République afin d’assurer au pays un scrutin conformes aux lois et aux dispositions légales.Rappelant le processus mis en place de commun accord avec les différentes parties et en toute transparence ce, afin de mieux organiser les élections générales. Cette rencontre qui intervient à quelques semaines de l’ouverture de ladite campagne avait pour but de dissiper les doutes et de rassurer les uns et les autres sur certains points afin d’aborder de la manière la plus sereine ce rendez-vous important.

Au cours de cette cérémonie le Premier ministre a donné la place à son Ministre d’Etat et ministre de l’intérieur qui a fait un récapitulatif des différentes expériences qu’a connu le Gabon en matière d’organisation d’élection. Un exposé qui a permis de démontrer la démarche participative au fil du temps des différentes parties et qui a laissé voir un mécanisme huilé en matière d’organisation.

Au devoir de neutralité, le devoir de préservation de la paix et de l'unité

Au Gabon, l’avenir de l’observation électorale internationale est connu,l’Union européenne et d’autres organisations internationales et régionales déploient dans le monde entier des missions d’observation électorale ont déjà annoncée  annoncé qu’ils ne déploieraient pas d’équipes pour surveiller le processus de vote.la crise diplomatique de 2016 ayant laissé des traces encore aujourd’hui.

Récemment la représentation diplomatique française au Gabon  a mis  en garde ses ressortissants contre le risque de «violence» et de «trouble à l'ordre civil» à travers des prospectus. La conférence aura servi de point  d'échanges sur la prévention des conflits, afin de faire le point sur les nouveaux défis, notamment l’utilisation croissante des réseaux sociaux pour les campagnes électorales, le recours aux technologies de l'information dans les processus électoraux et les violences électorales.

Conscient que le jour de l’élection n’est que la partie émergée de l’iceberg. La démocratie, exercice quotidien, au-delà des urnes impose  que des efforts doivent  être consentis pour identifier suffisamment à l’avance les facteurs susceptibles de déclencher des conflits. Au cours de la conférence, le débat a essentiellement porté sur la nécessité renforcer la crédibilité et la confiance à l’égard des processus électoraux, pour  assurer desélections politiques pacifiques et sans heurts

 

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