Les responsables de l’Éducation nationale ont récemment démenti que leur ministère a un plan pour enseigner l’hosexualité dans les écoles. Selon eux, le programme qualifié d’homosuel est plutôt axé sur l’éducation en santé sexuelle et reproductive (ESSR).

Selon eux, les élèves ont besoin d’en savoir un peu plus au lieu de découvrir les réalités de cette question dans la rue ou par l’expérience.  C’est un programme qui donne des informations scientifiques et académiques sur plusieurs aspects qui n’ont rien à voir avec l’hosexualité.  

«Enseigne-t-on l’homosexualité à l’école ? La réponse est non. Une fois, on obtient cette réponse, on comprend mieux la qualité des politiques éducatives mises en place par le ministère de l’Éducation nationale. Nous n’avons jamais eu des instructions officielles pour intégrer l’enseignement de l’homosexualité dans nos écoles. Cependant, les problématiques du monde que nous vivons maintenant doivent être introduites dans les programmes scolaires. On essaye de nourrir nos programmes pour que les enfants soient armés face aux difficultés du moment. L’école d’autrefois, n’est plus celle d’aujourd’hui. L’école d’aujourd’hui doit pouvoir s’adapter aux problématiques du milieu », a affirmé  le Dr. Adrien Makaya, directeur de l’Institut pédagogique national.

L’’inspecteur pédagogique des Sciences de la vie et de la terre, Clarisse Anguezome Nguema, les jeunes subissent des rapports sexuels forcés, contractent des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non désirées, sans être armés pour gérer ces passages de la vie.

L’enseignement de l’homosexualité semble être cachée dans le chapitre Genre de l’ESSR

« Ce concept ESSR a été mis en place par des experts internationaux et plusieurs centaines des pays ont adhéré afin d’aider les jeunes à recevoir de façon scientifiquement correcte des informations, des connaissances, des savoir-être, savoir-agir pour se garder en bonne santé. Dans le ESSR, il y a plusieurs thématiques (sexualité, environnement, approche genre, relation et style de vie, hygiène corporelle, droit de l’enfant…) qui permettent aux jeunes d’avoir le maximum d’informations nécessaires afin de pouvoir développer une image positive de soi pour se garder en bonne santé. C’est plutôt un concept de santé et non d’homosexualité dont il s’agit », a déclaré Clarisse Anguezome Nguema

L’Éducation nationale estime qu’il suit des enfants qui ont besoin de recevoir un certain nombre d’informations sur l’éducation sexuelle. Il n’est pas question de leur enseigner en revanche l’homosexualité.

 

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